Production Unit, homme, Glasgow, dubstep. C'est à peu près tout ce qu'il y a à dire et à savoir. Mais il est tout de même important de souligner qu'il n'est ni question de la dubstep trop mimi de James Blake, ni de la brostep trop vilaine, satanique, 666 de Saint Skrillex. C'est entre les deux. Des coups de musique de radiateurs d'un côté puis de légères touches de synthé de l'autre. Cette opposition permet de faire légèrement bouger la tête, les sourcils légèrement froncés, la langue légèrement tirée. C'est un moyen de se défouler avec retenue. Tout comme on peut sentir que les samples pleins de méchanceté sont lancés en sourdine. De quoi plaire si on ne sait toujours pas sur quelle rive du step se poser.
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