Nos coqs ont le droit de cocoricoter, ce garçon est français. On sait, on sait... Ronan accompagné de Siri, ça sonne so... outre-atlantique. Mais nos amis américains peuvent rentrer dans le premier Burger King, Mc Do ou KFC qu'ils trouvent, il est bien d'ici ( enfin, pas tout à fait). Cette voix magnifique, unique et prenante ( et un tas d'autres adjectifs pour souligner le fait que sa voix est, pour le résumer, belle) a décidé de se remettre à exister à Lyon. C'est à cet instant que moi-même et mes acolytes lyonnais se sentent importants et fiers. Mais il va falloir étouffer notre fierté dans le premier bichon au citron ou la première quenelle qu'on trouve ou se cacher dans le théâtre de Guignol, car il à perfectionné sa maîtrise de la guitare aux Etats-Unis, entre le Kentucky et le Kansas. Oui, vous pouvez sortir de l'usine Jack Daniel's et de Hollywood, c'est bon, vous avez gagné, les américains. Mais, le plus important est que Monsieur sera parfait pour les petites soirées solitaires ou avec quelques amis. Non, sérieusement, 19h sans "Little sweet shame undatrees" c'est pas faisable. Mais ce jeune homme de vingt ans sait aussi faire pleurer les demoiselles (c'est du vécu). Les chansons " Post Girl " et " Lost " feront sortir des yeux des demoiselles une inondation plus importante que celle à l'époque de l'arche de Noé. Ses chansons ont l'air tout droit sorties des champs. La phrase ci-dessus est valorisante, ses chansons nous transportent dans les champs, là où il y a du soleil et donnent envie de tournoyer sur soi-même jusqu'à en tomber et finir dans l'herbe dans un éclat de rire ( oh, ce fut poétique, j'en ai les larmes au yeux).
Bref, on attend la sortie de son album avec impatience, mais vraiment avec impatience. En attendant, c'est par ici et personnellement, je vais le voir sur les scènes lyonnaises dans un futur proche!
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